La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) vous invite à la manifestation anticapitaliste du 1er mai. 🦝 Cette année encore, les raisons de manifester ne manquent pas! En effet cette année, l'État et le capital ont multiplié les attaques contre les locataires, les queers, l'écologie, les gazaouis et les travailleur·euse·s.
Le 31 mars rassemblons nous en cette journée de la revanche trans pour démontrer notre mécontentement contre la situation présente et la complicité du gouvernement. La manifestation débutera devant le 600 rue Fullum où le ministère de la famille à ses bureaux. C’est aussi le lieux où un millier de militant-es trans et alliés ont mis en déroutes une centaine de militant-es anti-trans cette automne.
Nous partageons l'appel du Collectif 15 mars en vue de la manifestation annuelle contre la brutalité policière 2024.
Rejoignez-nous dans le CONTINGENT ANTICAPITALISTE à 17h30 au Métro Verdun (coin Willibrord et Verdun) et pour la MANIFESTATION ANTICAPITALISTE à 19h au Parc Madeleine Parent (Métro Charlevoix).
Le 27 novembre, à 14h, au coin Dorchester/Greene (métro Atwater), la Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) appelle à une manifestation en solidarité avec le peuple Wet'suwet'en de Colombie-Britannique, qui combat l'état colonial canadien.
Toutes les dernières infos pour la manif ! Les contingents, les autres événements le premier mai, les endossements et plus encore !
La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) dénonce la répression brutale de sa manifestation encore cette année. En effet, le SPVM a procédé, fidèles à leurs habitudes, à des arrestations injustifiées et violentes. Les policiers y sont allé de coups de matraques et de gaz lacrymogène pour faire taire la population qui en a assez de se faire exploiter chaque jour pour enrichir des bourgeois·e·s nauséabond·e·s et leurs compagnies qui profitent de la COVID-19. Plusieurs personnes on été blessées et les policiers ont même détruit le cellulaire d'un·e participant·e.
La pandémie que nous traversons nous précarise tou·te·s et met en évidence des injustices graves. La relance souhaitée par les dirigeant.e.s est une relance qui ne s’adresse pas à nous. Elle ne s’adresse pas aux artistes et autres personnes qui ne génèrent pas assez de profit pour mériter d’exister. Elle ne s’adresse pas aux les travailleur.euses du sexe, dont l’existence même est criminalisée. Cette relance ignore les personnes en situation de handicap, les marginalisé·e·s, celleux avec des problèmes de santé mentale. La relance dont ils parlent, elle est pour les pétrolières, pour les Bombardiers, pour les tizami·e·s comme Guzzo, mais elle n’est pas pour nous. Laisser les gouvernements nous sauver de la crise qu’ils ont eux et elles même créées à travers les coupures en santé, à travers leurs vies de « snowbirds », serait accepter la mort. Ce que nous devons relancer, ce n’est pas l’économie, mais les luttes pour nos droits et la fin de l’exploitation capitaliste.