🧑🏫👩🏫Atelier de sécurité en manif de la CLAC et de D4P [English below]
En amont à la campagne Bloquons l’OTAN!, la CLAC et D4P vous invitent à un atelier de sécurité en manif le samedi 9 novembre à l’espace Les Révoltes (2035 St-Laurent) afin de rappeler des bonnes pratiques à avoir pour la grande manif du 22 novembre.
Le génocide palestinien n'a pas commencé le 7 octobre 2023. Il s'est aggravé, certes, mais il s'agit d'une guerre d'usure débutée en 1948 par l’entité sioniste, qui a toujours augmenté la pression, jusqu'au blocus de 2007, qui a coupé l'accès de Gaza à la mer. À partir de ce moment, les Gazaouis habitaient dans une prison à ciel ouvert, contrôlée par des points de contrôles même à l'intérieur de leur territoire, sans aucune possibilité de sortir. Lorsqu'iels ont construit des tunnels vers l'Égypte, les autorités israéliennes ont rapidement bloqué l'afflux de biens de subsistances.
Attention !!! Ciné-raton change de lieu !
Ce soir, le 22 juin vers 20h : La projection du film Discordia aura lieu au Campement populaire Al-Soumoud en appui à Gaza au Square Victoria (coin St-Jacques et McGill, métro Square-Victoria).
Le film est en anglais avec sous-titres en français
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Voici enfin la bébelle sans quoi ta vie n’est pas complète, l’osti de cossin inutile qui va finalement transformer ta vie poche. Crisse que tu n’es qu’une personne loser parce que tu n’as pas cette patente qui sert à rien.
Manifestation mercredi 7 décembre au matin! 3 départs:
L’histoire de la Colombie est aussi l’histoire de l’ingérence américaine, dont l’exemple le plus marquant est la création du Panama en 1903, avec pour but la construction du canal qui permettrait à la flotte américaine de transiter facilement entre leur côte Est et leur côte Ouest.
Une autre grosse manif pour le climat, pourquoi faire ?
C'est sûr que ça serait bien qu'il y ait autant de monde qu'en 2019, mais au final, même Greta a pas pu faire changer les politiques de nos gouvernements. Bon, ok, ça tombe quelques jours après les élections, donc on peut espérer que ça mette un peu de pression sur les éluEs … Sauf que nous on sait que ça ne changera rien : Peu importe qui sera au pouvoir après les élections, rien de significatif ne sera fait, rien de significatif n'a jamais été fait au soit-disant Canada. Depuis le début de la colonisation, on vole, on exploite et on détruit le territoire sur lequel on se trouve, celui qui, ironiquement, assure notre survie.
Les ateliers se tiendront un samedi sur deux, a partir de la mi-juillet, à 19h dans la cour du DIRA (2035 Saint-Laurent): 17 juillet : Historique du rôle des infrastructures de transport et de communication dans le projet capitaliste colonial québécois 31 juillet : Réaménagement du territoire en cours et à venir : la stratégie maritime du Québec 14 aout : Résistances à la réorganisation urbaine, stratégies et pratiques
Le 1er mai dernier, comme chaque année depuis plus d'un siècle, c'était la Journée internationale des travailleuses et travailleurs. Malgré le confinement, plusieurs personnes ont pris action pour redécorer la ville. La situation peut sembler sombre, mais il y a quand même quelques points positifs malgré tout.
L'air de nos villes est plus pur qu'il ne l'a été depuis au moins un siècle. La consommation pétrolière ralentit en même temps que la production de gaz à effet de serre. Pour beaucoup de gens, le confinement forcé est un moment de revoir notre relation malsaine avec le travail dans cette société capitaliste hyperperformante et hyperproductive.
En cette période de pandémie, le capital tue plus que jamais. Les travailleur-euse-s sont laissé-e-s sans équipement dans les hôpitaux. Le confinement s’abat sur la population parce que les gouvernements ont fait trop peu trop tard. Les riches propriétaires qui ont ramené le virus avec elleux s'insurgent d'une grève des loyers que leurs locataires n'ont pas le choix de faire, faute d'argent. Les personnes qui vont mourir sont les plus vulnérables, des commis dans les épiceries aux livreur-euse de nourriture, en passant par les prisonnier-ère-s, les sans-abris et les sans papiers, pendant que les plus à l’aise travaillent de la maison. Malgré tout, la distanciation sociale reste une manière importante de réduire le nombre de personnes infectées, et c’est pourquoi NOUS NE NOUS RASSEMBLERONS PAS PHYSIQUEMENT POUR LA MANIFESTATION DU PREMIER MAI. Cependant, nous essaierons de rendre la résistance le plus visible possible, malgré le contexte difficile.
La conférence de Paris, dès le départ, visait à prendre l’année 1990 comme année de référence pour la réduction des gaz à effet de serre (GES). Cette année semblait critique pour plusieurs observateur.trice.s internationaux, puisqu’il s’agissait d’une année charnière dans le commerce mondial : le début d’une accélération des délocalisations massives vers des pays comme la Chine, l’Inde ou le Mexique.
Au cours de la gigantesque manifestation pour le climat du 27 septembre 2019, la voix d’une personne au ton exaspéré répondait à un slogan anticapitaliste: « On peut-tu arrêter de tout mêler et faire une manifestation juste pour l’environnement sans parler du capitalisme ? ».
Notre réponse à cette question en tant que collectif féministe, anticolonialiste, écologique et anti-impérialiste : un NON clair et net. Non, on ne peut pas parler des crises climatiques sans parler du système capitaliste, puisqu’ils sont justement liés.
Le 1er mai est né de luttes ouvrières menées par des immigrant-e-s. Elles ont eu lieu sur ce continent il y a plus de cent ans. Aujourd'hui, l'impérialisme capitaliste globalisé a créé des conditions qui forcent des millions de personnes à laisser leur maison pour trouver un refuge et tenter de survivre. Ces millions de personnes sont placées dans des situations d'extrême vulnérabilité, créant une population sans statut et exploitable. D'ailleurs, selon un article du Devoir publié aujourd'hui, le risque de subir des accidents de travail causant des blessures graves ou la mort est deux fois plus élevé pour les travailleuses et travailleurs étranger-ère-s.