LA CLAC ME PAIE POUR LANCER DES BRIQUES ZINES🚫🧱✅📚
On vous invite à un lancement de zines sur l’abolition de la police, des prisons et des asiles dans une perspective féministe, jeudi 3 octobre, 18h, au Café Philanthrope. ❗️❗️❗️☕
Nous proposerons un espace pour des discussions critiques s'opposant à la vision libérale qui légitimise la violence étatique. 🚓 en abordant le travail du sexe, les milieux carcéraux et psychiatriques. 🎀
Joignez-vous à nous et nos invité·es autour de collations et boissons non-alcoolisés! 🫖🥧😋 ménoum ménoum!
La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) vous invite à la manifestation anticapitaliste du 1er mai. 🦝 Cette année encore, les raisons de manifester ne manquent pas! En effet cette année, l'État et le capital ont multiplié les attaques contre les locataires, les queers, l'écologie, les gazaouis et les travailleur·euse·s.
Le Centre Social Anarchiste l'Achoppe vous invite à ses projections un jeudi sur deux. Durant le mois de mars 2024, la thématique est l'abolition de la police et des prisons.
Jeudi 14 mars: Whoses Streets? (2017)
Jeudi 28 mars: Do Not Resist (2016)
Portes 18h30, Films 19h. Contribution volontaire. BYOP (bring your own popcorn)
La police et les prisons sont des institutions violentes et racistes, issues d'un héritage colonial, qui ne servent qu'à reproduire les injustices du système capitaliste. Tous les jours, même quand c'est la soi-disant paix sociale, la police violente, harcèle et incarcère les personnes les plus démunies et les plus opprimées. Et quand elles se soulèvent, c'est encore la police et la prison.
Nous partageons l'appel du Collectif 15 mars en vue de la manifestation annuelle contre la brutalité policière 2024.
Oyé oyé, La police nous fait chier, intimide et tue. Une camarade trans s’est fait arrêtée avec un feu d’artifice dans le cadre de la manifestation anticapitaliste du 1er mai 2021 et l’État confond visiblement un feu d’artifice avec une arme à feu, puisque celle-ci risque la prison. La judiciarisation de cette camarade est particulièrement inquiétante, elle risque de créer un dangereux précédent quant aux conséquences légales d’utiliser des feux d’artifice en manifestation.
La police comme les prisons sont des institutions qui ont été mises en place pour maintenir un ordre social capitaliste et raciste. Que ce soit à la suite des commission d’enquête sur la SQ après la crise d’Oka ou celle survenu après la grève étudiante de 2012, on trouve toujours les recommandations de restructurer les organisations ou de réévaluer l’utilisation de tel ou tel type d’arme. Pendant que la liste des victimes des services de police et des prisons s’allonge au Québec comme ailleurs, on agite encore l’idée des enquêtes et des réformes. Pire, certain-e-s demandent plus de formation ou des gadgets technologiques comme des caméras, qui n’auraient pour seul effet que d’augmenter le budget des services de police. Si la crise américaine actuelle nous a appris quelque chose, c’est que les caméras ne servent à rien : La mort d’Ahmaud Arbery a été filmée, mais c’est seulement quand la population s’est soulevée contre les policiers, les procureurs et les juges qui ont essayé de balayer la cause sous le tapis que les meurtriers ont été arrêtés. La mort de George Floyd a été filmée, mais c’est seulement après trois jours de manifestations que des accusations ont été portées, d’abord sur un seul des policiers impliqués. L’impunité totale des services de police et l’injustice massive du système carcéral ne se régleront pas par une enième réforme de plus. Cette impunité se doit d’être répondue par l’abolition de ces institutions.
Après plus d'une décennie de lutte, des personnes arrêté·e·s lors de 16 manifestations qui se sont soldées par des arrestations de masses entre 2011 et 2015 ont finalement obtenu gain de cause face à la ville de Montréal et au SPVM en signant une entente hors-court pour obtenir dédommagement pour les tords subis.
Le Comité d'autodéfense juridique de la Convergence des luttes anticapitalistes relance son Fonds d'autodéfense juridique, qui vise à supporter les personnes qui sont victimes de la répression policière ou juridique pour des gestes présumés commis dans le cadre d'actions individuelles ou collectives ayant une portée anticapitaliste, féministe, anticoloniale ou antiraciste.
La deuxième saison du podcast "Le Verger au Complet" débutera bientôt !
La société libérale nous dit que les prisons existent pour nous protéger des gens qui nous veulent du mal, mais l'histoire des prisons, de même que la fonction sociale qu'elle sert présentement nous donne une histoire différente. Les prisons ont toujours existé pour enfermer les personnes pauvres, les esclaves en fuite, les gens endettés et ceux et celles dont la société ne voulait plus, ainsi que celles et ceux qui ont osé résister à la façon dont le monde est organisé.
La firme Lemay est la compagnie d’architecture contre laquelle le site-web Stoppons les prisons* mène campagne afin de bloquer la construction d’une nouvelle prison pour personnes migrantes à Laval. Le siège social de la firme est situé dans une bâtisse dont la compagnie à numéro (9242- 5370 QUEBEC Inc.) n’est rien d’autre qu’une façade d’une autre compagnie bien connue pour ses impacts dévastateurs dans certains quartiers populaires, notamment Saint-Henri et Pointe- Saint-Charles : le groupe Mach de Vincent Chiara.
As has been written elsewhere in this journal, the federal government has commissioned a new prison for migrants of all ages, and construction is beginning in spring of 2019. The catch: they don't want this new building to seem like a prison. They've requested it have warm wood panelling to give it a homey feel, window furnishings to hide the iron bars, and fences camouflaged by shrubbery, but high enough to block passersby from seeing the children in the courtyard.