Entre l’Hôtel de ville de Montréal et le club privé situé au 357 Rue de la Commune Ouest (Club 357C), il y a exactement 1,2 kilomètres. Plus ou moins 1 200 pas. Tout au plus 10 minutes de marche à une cadence normale. Moins de cinq minutes en limousine.
La loi mammouth C-38 imposée par le Parti conservateur inclut la réforme de la Loi sur l'assurance-emploi, qui est entrée en vigueur au mois de janvier. Cette réforme touche tous les travailleurs et toutes les travailleuses, mais attaque surtout de plein fouet les travailleurs et travailleuses temporaires, saisonniers/saisonnières et précaires, qui verront leurs conditions de travail se dégrader parce qu'ils et elles utilisent plus souvent l'assurance-emploi.
Oyé ! Oyé ! Lancement du nouveau numéro du journal de la Clac-Montréal :Coup de torchon !
Le journal qui torche !
Coup de torchon |n. m. | loc.
Bagarre, combat, lutte individuelle ou collective, conflit, guerre, bataille ; se battre, se quereller, se disputer, combattre.
Vendredi le 16 septembre, à partir de 17h
Au Yer Mad ; 901, boul. de Maisonneuve Est (métro Berri)
Pour publication immédiate
Montréal le 1er mai 2011 - Pour la quatrième année consécutive, plus de 1 200 manifestant(e)s ont marché dimanche dans les rues du centre-ville de Montréal, dans le cadre de la Journée internationale des travailleurs et des travailleuses. La manifestation, organisée par la Convergence des luttes anticapitalistes Montréal (CLAC-Montréal), visait à dénoncer le système capitaliste, principal générateur d’exploitation et de pauvreté dans le monde.
http://www.warriorpublications.com/?q=node/112
May 21, 2010
Occupied Coast Salish Territory
[Vancouver, Canada]
The May 18, 2010, arson attack on the Royal Bank of Canada in Ottawa was clearly an anti-colonial and anti-capitalist action. It has had a strong impact across the country and invoked the wrath of the state. As both sabotage and propaganda, the attack was highly successful: the bank was almost totally destroyed while the RBC's funding of the genocidal Tar Sands was once again highlighted.
Grand moment dans l’histoire du Canada. Du 25 au 27 juin, à Toronto, se réuniront les grands phallus de ce monde (bon, il y a bien un ou deux vagins dans le tas, mais certes pas une majorité) dans le cadre d’un Sommet du G20, ce caucus des pays les plus riches qui se sont autoproclamés les bienfaiteurs de ce monde. Au-delà du fait que personne ne les ait choisis pour s’occuper, seuls, du sort du monde, le G20 n’a aucune légitimité politique.
En Occident, les manifestations contre les grands sommets officiels ont souvent été brutalement réprimées au fil des dernières années. Il semble que les élites n’apprécient guère que la mise en spectacle de leur puissance soit perturbée par des agitatrices et des agitateurs qui contestent leur légitimité. Mais cette réaction violente ne suffit pas, bien au contraire, à saper la volonté des forces anticapitalistes, anti-impérialistes et antipatriarcales, qui se mobilisent dès que les élites organisent un nouveau sommet.
On nous martèle depuis déjà beaucoup trop longtemps les formules milles fois répétées de ce discours vide nous demandant une croyance aveugle en les vertus du dogme de la croissance économique, selon lequel le capitalisme allait apporter le développement et le mieux-être pour tous et que les pays dits « sous-développés » parviendraient un jour à jouir de ses bienfaits, comme l’avaient réussi les pays industrialisés. « Il faut d’abord créer la richesse pour ensuite la distribuer » disait-on. Ah oui…mais jusqu’à quand ?!