Le capitalisme sur ce continent a commencé dès la colonisation génocidaire des peuples autochtones et la dépossession de leurs territoires par les État-nations européens, principalement la France et l'Angleterre. L'objectif principal de cette colonisation était de contrôler le territoire pour en extraire les ressources naturelles et y établir des colonies. Par ce processus de colonisation, les hommes européens en position de pouvoir ont répandu leur société patriarcale, chrétienne et militaire au sein de ce qui est maintenant devenu un système global.
Dans cette situation de crise mondiale, où tout ne tient qu'à un fil, les politiciens et PDG s'arrangent pour rassurer les marchés. C’est ainsi que se multiplient les accords économiques, qui garantissent aux investisseurs des rendements sans cesse croissants puisqu’ils permettent aux entreprises de faire ce qu'elles veulent, où elles veulent.
Cette tradition trouve son origine dans le mouvement ouvrier nord-américain de la deuxième moitié du XIXe siècle.
Le 1er mai 1886, un mouvement de grève générale revendiquant la journée de huit heures est lancé dans plusieurs villes américaines.
Ceci est un appel À PARTICIPER EN GRAND NOMBRE à la manifestation anticapitaliste annuelle organisée à l'occasion de la Journée internationale des travailleurs et travailleuses.
C'est aussi un appel aux actions autonomes...
Le 1er mai, ça dure 24 heures !
ON S'INVITE AU CLUB SÉLECT 357C !
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Entre l’Hôtel de ville de Montréal et le club privé situé au 357 Rue de la Commune Ouest (Club 357C), il y a exactement 1,2 kilomètres. Plus ou moins 1 200 pas. Tout au plus 10 minutes de marche à une cadence normale. Moins de cinq minutes en limousine.
Montréal, le 11 juin 2012 -- Depuis jeudi soir (le 7 juin 2012), plusieurs super-larbins du Capital, tel que Jean Charest, l'ancien sous-fifre québécois de Stephen Harper, Michaël Fortier, et Robert Poëti, le verrat à la retraite recyclé en porte-parole des grosses polices, ont affirmé « ne pas comprendre » que l'on puisse vouloir perturber un événement de «charité» comme le gala d'ouverture du Grand Prix, ostensiblement organisé au bénéfice des fondations des hôpitaux Sainte-Justine et Sacré-Coeur.
Montréal le 11 juin 2012 -- Ces derniers jours, plusieurs super-larbins du capital se plaignent de l'image qui est projetée de Montréal sur la scène internationale.
Quelques commentaires s'imposent.
Jeudi le 3 novembre à 17h30
Rassemblement au Carré Phllips à Montréal
(rue Ste-Catherine Ouest, entre les rues Union et Aylmer, métro McGill)
Montréal, le 1er novembre 2011 - La Convergence des luttes anticapitalistes (CLAC) appelle toute la population à manifester dans les rues de Montréal contre le Sommet du G20 qui se tiendra à Cannes en France les 3 et 4 novembre.
Oyé ! Oyé ! Lancement du nouveau numéro du journal de la Clac-Montréal :Coup de torchon !
Le journal qui torche !
Coup de torchon |n. m. | loc.
Bagarre, combat, lutte individuelle ou collective, conflit, guerre, bataille ; se battre, se quereller, se disputer, combattre.
Vendredi le 16 septembre, à partir de 17h
Au Yer Mad ; 901, boul. de Maisonneuve Est (métro Berri)
Pour publication immédiate
Montréal le 1er mai 2011 - Pour la quatrième année consécutive, plus de 1 200 manifestant(e)s ont marché dimanche dans les rues du centre-ville de Montréal, dans le cadre de la Journée internationale des travailleurs et des travailleuses. La manifestation, organisée par la Convergence des luttes anticapitalistes Montréal (CLAC-Montréal), visait à dénoncer le système capitaliste, principal générateur d’exploitation et de pauvreté dans le monde.
Ici comme ailleurs, on a raison de se révolter!
Les banques et les grandes entreprises sortent gagnantes de la crise économique et continuent de générer des profits records! Mais il en va autrement pour la majorité de la population. En plus d’avoir injecté des centaines de milliards de dollars de fonds publics pour « sauver » le système financier, cette crise sert de prétexte aux grandes entreprises pour faire des mises à pied massives et aux gouvernements du monde entier pour couper les services à la population comme en santé et en éducation.
Les banques et les grandes entreprises sortent gagnantes de la crise économique et continuent de générer des profits records! Mais il en va autrement pour la majorité de la population. En plus d’avoir injecté des centaines de milliards de dollars de fonds publics pour « sauver » le système financier, cette crise sert de prétexte aux grandes entreprises pour faire des mises à pied massives et aux gouvernements du monde entier pour couper les services à la population comme en santé et en éducation.
Les personnes immigrantes, chômeuses, assistées sociales, mères monoparentales ou âgées, celles et ceux qui travaillent à petits salaires sont cruellement touchées par la crise du capitalisme. Mais maintenant les travailleuses et les travailleurs de la classe dite « moyenne » sont aussi touchés de plein fouet! Et il ne faut pas se faire d’illusion, la situation ne fera qu’empirer : augmentation importante du coût de la vie, baisse des salaires, diminution des protections sociales, privatisation et tarification des services de santé, etc.
Le capitalisme est un système pourri qui exploite la grande majorité de la population au profit d’une toute petite minorité de profiteurs. Chaque jour amène de nouveaux scandales de corruption et de vol de fonds publics. L’avidité des riches n’a d’égale que les bonus gigantesques qu’ils se donnent. En plus, on réduit leurs impôts pour ensuite nous imposer des augmentations de taxes de toutes sortes et des diminutions de services… C’est assez de faire rire de nous!
Les capitalistes ne produisent rien sinon que de la misère et de l’oppression. La richesse est produite par notre travail. Il n’y a aucune raison pour que cette richesse soit volée par une poignée de milliardaires, qu’ils soient chefs d’entreprises, chefs de guerre, rois du pétrole ou dictateurs!
Prenons exemple des peuples en colère de la Libye, la Tunisie, de l’Égypte. Ici, comme ailleurs, contre le capitalisme, contre toutes les oppressions, pour une vie meilleure, nous avons raison de nous révolter!
Manifestons notre révolte dans les rues de Montréal le 1er mai, Journée internationale des travailleurs et travailleuses. Apportons nos drapeaux et nos foulards ! Allons battre le pavé!
Une invitation de la CLAC-Montréal, www.clac2010.net / blocampmontreal@gmail.com
Des luttes globales aux luttes locales spécifiques : réflexions sur « le mouvement »
De la mobilisation organisée par le Comité d’accueil du G20 à Montréal en 2000 à la récente mobilisation de la CLAC2010 contre le Sommet du G20 à Toronto en juin dernier, bien de l’eau a coulé sous les ponts de la gauche radicale montréalaise. Dix ans plus tard, il serait sain que le « milieu militant », comme on l’appelle souvent, ait la maturité politique de prendre le temps faire un bilan et se livrer à des réflexions collectives. Non pas strictement au sujet de la récente mobilisation contre le G20, mais surtout amorcer une sincère introspection quant à l’évolution de ses organisations et de ses luttes dans les dix dernières années, ainsi qu’à l’état actuel du mouvement anti-capitaliste, principalement composé d’individus et de groupes anarchistes de diverses tendances.